Le nombre 147
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Afin de bénéficier pleinement des explications qui suivent, il est conseillé de prendre préalablement connaissance des exposés suivants de ce blog : « La vraie nature du nombre 4 » ; « Le nombre sacré 7 » ; « Le nombre sacré 1 ».
Un trigone cosmique
Lorsque les nombres de 1 à 9 sont disposés en carré, le nombre 147 constitue la première colonne du carré :
Mais en plaçant les nombres de 1 à 9 sur un cercle, nous obtenons une très belle représentation de ce nombre :
Il s’agit là d’un véritable trigone, c'est-à-dire un triangle équilatéral.
La position du 1 au sommet du trigone ne doit pas nous étonner. Le nombre sacré 1 n’est-il le nombre de la Force divine par laquelle la création entière a pris forme avec tout ce qu’elle contient ? La base horizontale du trigone a elle aussi quelque chose à nous dire. Le 4 (la Nature) est relié au 7 (la Volonté divine). Que signifie donc cette liaison particulière ?
Il nous suffit de contempler sur la Terre ce qui reste de la Nature originelle (c'est-à-dire non déformée par l’être humain) pour nous convaincre de la Pureté, de la Beauté et de la prodigieuse Sagesse qu’elle recèle. Les montagnes, les océans, les rivières et les vertes vallées, les déserts, les plantes et les fleurs, les arbres et les animaux ne sont-ils pas pour l’être humain éveillé (et seulement pour lui) une source inépuisable d’émerveillement et de ressourcement ?
La Nature virginale est d’une Pureté et d’une Beauté incomparable car elle est issue de la Volonté divine. Telle est la signification profonde de l’intense faisceau de radiation qui relie le 4 et le 7, c'est-à-dire la base de notre trigone.
Pour nous qui cherchons la Vérité, l’existence de cette liaison 4-7 est une bénédiction car au cours de nos multiples incarnations terrestres, il nous a souvent été donné de vivre au contact de la Nature, ce qui nous a aidés à progresser dans la connaissance de la Volonté de Dieu.
Les animaux nous enseignent l’Amour vrai et inconditionnel ainsi que la fidélité, les fleurs nous enseignent la Pureté et la Beauté.
Les plantes et les légumes nous enseignent la Santé, c'est-à-dire l’art d’acquérir et de conserver l’intégrité de notre enveloppe physique corporelle dont notre âme a absolument besoin lors de son séjour terrestre.
Les arbres nous enseignent comment il faut vivre sur Terre, solidement ancré dans le sol (racines) mais aussi tourné vers la lumière (feuillage) en une solide union symbolisée par le tronc.
Les montagnes témoignent de la Grandeur du Tout-Puissant.
Les étoiles éclairent notre conscience de mille feux dont les radiations accompagnent notre sommeil et fortifient notre esprit.
Le Grand Créateur nous a donné tout ce qu’il faut pour permettre à notre esprit de se développer avec droiture et sincérité !
Aspects numérologiques du nombre 147
Ainsi que nous l’avons déjà mentionné dans de précédents exposés, la véritable numérologie est liée à la langue allemande. Je vous propose donc de traduire en allemand les deux expressions suivantes et de calculer leurs nombres au moyen de notre clé numérique :
Retrouver la Lumière = Das Licht wiederfinden = 147
Un trigone numérique cosmique = Ein zahlenmäßiges Weltdreieck = 147
Mais la puissance vibratoire d’un nombre est une force neutre que la volonté humaine pousse parfois vers un versant sombre (voir à ce sujet l’exposé « 666 en vérité » de ce blog). Et comme nous avons totalement délaissée la Parole de Dieu au profit d’un matérialisme destructeur, les nombres nous le font savoir puisque :
La Parole perdue = Das verlorene Wort = 147
La Parole perdue est bien évidemment la Parole de Dieu.
147 et l’inverse du nombre 7
Chaque nombre (excepté 0) possède un nombre inverse. Ainsi, l’inverse de 4 est 0,25 car 4 × 0,25 = 1. L’inversion est une notion dont le symbolisme est très profond non seulement en algèbre mais aussi en géométrie. Nous y reviendrons par la suite.
Or, dans l’exposé « Calculs avec le nombre 7 » nous avons calculé l’inverse du nombre 7 au moyen d’une simple division :
Le résultat fait apparaître une périodicité puisqu’un groupe de 6 chiffres (142857) se répète indéfiniment. Sans doute, cher lecteur, vous demandez-vous où est caché le nombre 147 ? Pour le découvrir, il faut passer par la géométrie. Le groupe périodique 142857 comportant 6 chiffres, nous pouvons répartir ces 6 chiffres sur les sommets d’un hexagone, en positionnant le 1 au sommet de la figure. Et voici ce que nous obtenons :
La partie supérieure de l’hexagone nous dévoile le nombre 147 !
Le nombre de la Perfection
Ce n’est pas 147. Le nombre de la Perfection est 12, c'est-à-dire le nombre de ce qui est complet, achevé et en harmonie avec le cosmos.
C’est pourquoi, il y a environ 2000 ans, le Christ Jésus s’entoura de 12 disciples aux caractères si différents. Non pas 11 ou 13 disciples, mais très précisément 12 disciples. C’est que, grâce à la connaissance profonde qu’Il avait de l’humanité terrestre, Jésus savait que l’humanité comportait 12 groupes humains, correspondant à 12 tempéraments, 12 personnalités de base. Chaque disciple était donc en affinité avec une partie de l’humanité et la communauté des 12 disciples, placée face à l’ensemble de l’humanité, ne présentait pas la moindre lacune.
S’adressant à la foule, le Fils de Dieu expliquait la Parole sacrée de son Père à ses auditeurs. Mais ces derniers ne comprenaient pas tout ce qui leur était enseigné. Bien des questions surgissaient en eux. Les disciples étaient chargés de répondre à ceux qui, dans un élan pur et sincère, venaient les trouver. Or, chaque questionneur, de part son tempérament, se trouvait en affinité avec l’un des 12 disciples vers lequel il était alors dirigé.
Les disciples étaient tout à fait conscients de l’importance de ce fait, à tel point que, après la trahison et le suicide de Judas et l’assassinat de Jésus, ils ne tardèrent pas à recruter un nouveau et douzième disciple afin de poursuivre leur activité dans la vibration parfaite du nombre 12.
Tel est l’exemple lumineux que je tenais à vous présenter en tout premier lieu. Mais il en est d’autres, car la Perfection se manifeste dans de multiples domaines :
-les 12 Chevaliers du Graal (dans la création primordiale)
-les 12 divinités olympiennes et les 12 Titans (géants) de la mythologie grecque
-les 12 signes du zodiaque (c'est-à-dire les 12 portails célestes)
-les 12 tribus d’Israël
-Les 12 pierres de la Jérusalem céleste : jaspe, saphir, agate, émeraude, onyx, sardoine, chrysolithe, béryl, topaze, chrysoprase, turquoise, améthyste
-les 12 mois de l’année
-les 12 couleurs d’un cercle chromatique
-les 12 notes utilisées en musique
-la corde à 12 nœuds refermée sur elle-même utilisée par les Maîtres d’Œuvre des Grandes Cathédrales (Reims, Chartres, Strasbourg …) qui permet de former un triangle rectangle parfait (il suffit pour ce faire de saisir et de tendre la corde à partir de trois nœuds convenablement choisis)
-les 12 quarks de la physique nucléaire (6 quarks + 6 antiquarks), microparticules qui s’assemblent et fusionnent de diverses façons pour former notamment les particules lourdes des noyaux atomiques (les protons et les neutrons).
Remarquons en passant que les actuelles difficultés de l’Union Européenne ne sont peut-être pas étrangères au nombre de nations qui la composent. A l’origine, l’Europe des 12 fonctionnait plutôt bien. L’Europe des 27 (au moment de la rédaction de ce texte) est une structure artificielle et disharmonieuse, bien mal en point, menacée de paralysie, porteuse de nombreux antagonismes, à la limite de la désintégration. Cependant, le drapeau européen comporte toujours 12 étoiles d’or disposées en cercle …
147 et 12
Le nombre trigone 147 est lié à l’activité de Dieu et la Perfection est un attribut de Dieu. Il doit donc être possible de trouver le nombre 12 dans la structure du nombre 147. Voyez-en par vous-même :
→ La somme des chiffres de 147 est :
1 + 4 + 7 = 12
→ La décomposition de 147 en produit de facteurs premiers est :
147 = 3 × 7²
Or : 3 + 7 + 2 = 12
→ 147 est divisible par 21, le nombre renversé de 12
→ La somme des diviseurs de 147 est :
1 + 3 + 7 + 21 + 19 + 147 = 228 = 12 × 19
La somme des diviseurs de 147 est donc le 19ième multiple de 12.
De surcroît, 19 est un diviseur de 741 (le nombre renversé de 147) puisque 741 = 19 × 39
→ Utilisé conjointement avec le nombre 3 la Lumière), le nombre 147 laisse à nouveau entrevoir le nombre 12 :
147 – 3 = 144 = 12²
Par ailleurs : 147 × 3 = 441
Or 441 le nombre renversé est 144 c'est-à-dire 12².
→ La racine carrée de 147 fait apparaître le nombre 12 :
Nous pouvons certes nous interroger sur le jeu subtil des nombres, lequel garde et gardera toujours pour nous une part de mystère car, contrairement aux illusions entretenues par certains, nous ne sommes pas divins. Nous sommes simplement des êtres spirituels et nos capacités de compréhensions ne peuvent dépasser les limites qui sont celles du plan de la création d’où nous sommes issus.
Un nombre qui accompagne l’humanité depuis plus de 5000 ans
Pour une raison qui n’est pas connue des archéologues, la pointe de la pyramide est absente et la pyramide est seulement surmontée d’une plate-forme carrée de 11,3 m de côté. La partie manquante se nomme pyramidion car elle a la forme d’une petite pyramide.
0r, la hauteur de la Grande Pyramide, en tenant compte du pyramidion et du revêtement calcaire d’origine, mesure … 147 m !
147 et le cercle
Depuis fort longtemps, le cercle est utilisé pour la mesure des angles et pour la mesure du temps. Il comporte 360 degrés.
Or : 360 = 1 + 4² + 73
147 et les calendriers antiques
Les anciennes civilisations se sont toutes intéressées à l’astronomie. Le plus ancien calendrier connu est semble-t-il d’origine égyptienne. Un vénérable « fossile » élaboré il y a 10000 ans ! Mais c’est en Mésopotamie et plus particulièrement en Chaldée que des progrès décisifs ont été faits en matière d’observations et de calculs.
Les Sages de la Chaldée étaient des savants minutieux et méthodiques. Ils posèrent les premières bases scientifiques de l’astronomie il y plus de 5000 ans.
Pour ce faire, ils observèrent tout d’abord l’astre le plus visible, la Lune. Le mois lunaire ou lunaison est l’intervalle de temps entre deux pleines Lunes. La lunaison semble facile à mesurer mais il n’est rien car sa durée est variable. En moyenne, elle dure 29,5 jours soit environ 30 jours. Les astronomes chaldéens obtinrent ainsi une année comportant 12 mois de 30 jours soit 360 jours.
Par ailleurs, les chaldéens sont aussi les inventeurs du cadran solaire, lequel permet notamment de mesurer la hauteur du Soleil dans le ciel. L’ombre du gnomon (le « bâton » du cadran solaire) se déplace sur le sol et change de longueur, permettant ainsi de suivre la trajectoire du Soleil dans le ciel.
En observant les rythmes solaires, les astronomes chaldéens ne tardèrent pas à se rendre compte que l’année comportait plus de 360 jours. Pour corriger ce décalage, ils ajoutèrent un mois supplémentaire tous les 6 ans. Sur une période de 6 ans, il y avait donc 5 années de 360 jours et une année de 390 jours (360 + 30).
Effectivement, avec ce correctif, la durée moyenne d’une année sur une période de 6 ans est :
(360 × 5 + 390) ÷ 6 = 365 jours
Or, tout ceci est en rapport avec le nombre 147 ! Nous avons en effet déjà constaté dans le précédent paragraphe que : 360 = 1 + 4² + 73
Mais qu’en est-il des 5 jours supplémentaires de ce calendrier ?
Il suffit de remarquer que 360 = 72 × 5 d’où il résulte que 5 = 360 ÷ 72.
Ces 5 jours représentent donc 1/72 de l’année de 360 jours.
Or : 72 = 1 + 43 + 7
Le calendrier chaldéen est donc structuré par le nombre 147.
147 et le calendrier grégorien
Le calendrier grégorien est notre calendrier actuel. Il comporte :
1 mois de 28 jours ou 29 jours (années bissextile) : février
4 mois de 30 jours : avril, juin, septembre, novembre
7 mois de 31 jours : janvier, mars, mai, juillet, août, octobre, décembre
Par ailleurs, le jour est divisé en 24 heures.
Or : 24 = 1 + 4² + 7
Notons que trois fois sur quatre, le mois de février comporte 28 jours.
Or : 28 = 1 × 4 × 7
Et une fois sur quatre, le mois de février compte un jour de plus (année bissextile) car en réalité l’année compte 365 jours 1/4. En comptant seulement 365 jours, nous prenons donc 1/4 de jour de retard par rapport au rythme cosmique. Au bout de 4 ans, nous sommes en retard de 1 jour ! En ajoutant un jour supplémentaire à la quatrième année, nous nous recalons sur le rythme naturel.
Allons plus loin. Or, une fois sur quatre, c’est une fraction (1/4). Cette fraction laisse apparaître les nombres 1 et 4 mais en apparence pas le nombre 7. Mais savoir regarder au-delà des apparences, n’est-ce pas le début de la Sagesse ?
Alors, cher lecteur, je vous propose de mettre la fraction 1/4 sous forme décimale. Pour ce faire, il suffit de diviser 1 par 4. Et voici ce que nous obtenons :
Et où se cache le 7 ? C’est facile à trouver, il suffit d’additionner les chiffres de 0,25 pour obtenir au final :
Le nombre 147 structure donc pleinement notre calendrier !
147 et la structuration de la matière
La matière dense est formée d’atomes qui s’assemblent en molécules. Ainsi, la molécule d’eau (c'est-à-dire la plus petite particule d’eau) est-elle constituée de deux atomes d’hydrogène (symbole H) et d’un atome d’oxygène (symbole O). Ci-dessous se trouve une représentation schématique d’une molécule d’eau. Le disque bleu représente un atome d’oxygène et les disques rouges deux atomes d’hydrogène :
C’est pourquoi les scientifiques utilisent la formule suivante pour désigner la molécule d’eau :
Nous pouvons noter que OH = OH’ = 0,9584 A0
Le triangle OHH’ est donc isocèle.
Le symbole AO est celui de l’angström, une très petite unité de longueur adaptée à la mesure des objets atomiques. Disons simplement que l’angström est 10 millions de fois plus petit que le millimètre …
Il existe 92 éléments chimiques naturels (le dernier étant l’uranium de symbole U) auxquels s’ajoutent hélas des éléments artificiels hautement radioactifs résultant notamment des explosions criminelles de nos trop fameuses « bombes atomiques ». Ces éléments ont été regroupés et ordonnés dans le tableau suivant :
Alors cher lecteur, je vous invite à examiner les trois premiers éléments de ce tableau et à considérer leurs masses atomiques (l’unité de masse atomique est définie à partir de l’atome de carbone mais je n’en dirai pas davantage dans cet exposé qui n’est nullement un cours de science physique).
L’émergence du nombre 147 dans la structuration du monde atomique est pour le moins inattendue mais indiscutable !
147 et la première loi de Kepler
Astronome inspiré, Johannes Kepler (1571-1630) découvrit les trois lois mathématiques qui gouvernent les mouvements des planètes autour du Soleil (ces lois restent valables pour les mouvements des planètes qui orbitent autour d’une étoile quelconque de l’univers).
Avant Kepler, il paraissait acquis que les planètes décrivaient des cercles autour du Soleil, et ceci d’autant plus que dans l’antiquité, le cercle était considéré comme la figure la plus parfaite de la géométrie.
Cependant Kepler, qui fut un temps l’assistant de l’astronome danois Tycho Brahé, bénéficia des mesures exceptionnellement précises auxquelles celui-ci avait procédé, notamment en ce qui concerne la planète Mars.
L’analyse de ces données durant six longues années de labeur permis à Kepler de découvrir les deux premières lois qui portent à présent son nom. La première loi découverte par Kepler peut s’énoncer ainsi :
« Les planètes décrivent des trajectoires elliptiques dont le Soleil est un foyer. »
Une découverte en entraînant une autre, nous constatons alors que la distance entre le Soleil et une planète n’est pas constante et dépend de la position de la planète sur sa trajectoire elliptique.
Les astronomes relèvent deux positions particulières :
-le point de la trajectoire de la planète qui est le plus proche du Soleil (périhélie)
-le point de la trajectoire de la planète qui est le plus loin du Soleil (aphélie).
Voici le schéma qui concerne la Terre :
Lorsque la Terre se trouve au périhélie, à quelle distance du Soleil se trouve-t-elle ? Eh bien, cher lecteur, la réponse est plutôt surprenante : la Terre se trouve à 147 millions de kilomètres de Soleil !
Ainsi, le nombre 147 se manifeste-il aussi dans la structuration du système solaire.
Conclusion
Le trigone cosmique 147 est une bénédiction pour l’humanité. La Force lumineuse de Dieu (1) vivifie la liaison 4-7 grâce à laquelle la Nature (4) a été édifiée, développée et entretenue en une parfaite conformité avec la Volonté divine (7).
En souillant et en détruisant la Nature, l’humanité s’oppose donc frontalement à la Volonté de Dieu et récolte les conséquences de ses actes. Les forces élémentales, gravement perturbées, produisent des évènements cataclysmiques qui résultent uniquement de la dégénérescence de la spiritualité humaine. Tel est un des messages que nous délivre à présent le nombre 147.
Prolongement
Les lecteurs qui poursuivront l’étude du Message du Graal « DANS LA LUMIERE DE LA VERITE » jusqu’au tome III seront certainement ravis de découvrir que le nombre 147 est également présent sur le premier degré de la création primordiale, lequel fait suite à la sphère divine. En effet, sur ce degré nous trouvons :
Epilogue
Je ne suis pas écrivain. J’ai rédigé cet exposé pour attirer votre attention sur une Œuvre de Très Haute Spiritualité intitulée « DANS LA LUMIERE DE LA VERITE ». Sans les connaissances contenues dans cet ouvrage, il ne m’aurait pas été possible d’élaborer cet exposé. Vous qui êtes un chercheur, je vous renvoie à ces écrits qui éclaireront votre âme avec Sagesse et Bonté.
Un livret de présentation de cette Œuvre est téléchargeable en cliquant sur le lien suivant :
http://ahp.li/e9163a26260004a5745a.pdf
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