Le nombre sacré 1
Symbolisme du nombre 1
Le nombre 1 est le premier de tous les nombres, celui par lequel tous les autres ont été crées. Il est à lui tout seul le commencement et l’origine de toutes choses, pour l’éternité.
Le nombre 1 représente donc la Force lumineuse et rayonnante de Dieu, par laquelle tout a été engendré. Et de nouveau, laissons parler les Saintes Ecritures :
Esaïe 44 : 6
« … Je suis le premier et je suis le dernier, Et hors moi il n’y a point de Dieu. »
Apocalypse 1 : 8
« Je suis l’alpha et l’oméga dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout Puissant. »
Le nombre 1 est donc le nombre de la Force sacrée de Dieu.
Dans l’exposé « Le nombre d’or » du présent blog, nous avons déjà indiqué que le véritable symbolisme des nombres a été découvert par M. Lucien Siffrid en 1930. Cet auteur inspiré a expliqué que chaque lettre, chaque mot et même chaque phrase est relié à un nombre vibrant mais que le calcul de ce nombre ne peut se faire qu’en utilisant la langue allemande.
Or, en allemand, « Force » s’écrit « Kraft », mot dont le nombre se calcule ainsi :
Kraft = 370 = 10 = 1
Une belle confirmation !
Le nombre 1 et l’univers
Les irradiations de la Force de Dieu (le 1) illuminent le Grand Univers apportant en tous lieux la chaleur, le mouvement et la vie, pour la promotion et le développement de toutes les créatures qui s’abritent dans ses plis.
Or, en formant le mot « univers », l’intuition humaine a touché juste.
En effet, ce mot « univers » signifie :
« tourné vers le un » (uni/vers)
Représentation géométrique du nombre 1
Il va de soi que nous ne pouvons représenter géométriquement le nombre 1 car il s’agit de la Force sacrée de Dieu, c'est-à-dire de Dieu lui-même. S’affranchissant de l’interdiction biblique, certains artistes s’y sont risqués mais ils n’ont produit que de vaines caricatures, comme par exemple un bon vieillard barbu …
Or une image, quelle qu’elle soit, ne saurait représenter la Lumière Originelle, la divinité inessentielle. Tout au plus, pouvons nous imaginer la proximité du Très Haut comme une infinie Mer de Lumière, bruissant des sons délicats et puissants du Souffle créateur.
Nous en resterons là car notre esprit ne peut que pressentir dans une très faible mesure la Magnificence, la Majesté et la Sainteté de Dieu. Même la sphère divine, qui est la sphère éternelle des toutes premières irradiations de Dieu, ne saurait être décrite correctement avec nos mots et nos images terrestres.
Dévoilement du nombre 1
Les civilisations antiques (notamment la civilisation grecque) n’étaient pas parvenues à la connaissance du Dieu unique. Toutefois, à ces époques lointaines, des hommes simples et proches de la Nature pouvaient voir et entrer en contact avec les êtres de la Nature : elfes, ondines, gnomes, salamandres, nymphes des bois, sylphes, géants … Ces êtres exécutent avec fidélité, dans le genre qui est le leur, la Volonté créatrice de Dieu. Ils sont les artisans des lois de la Nature et leur travail assidu est à l’origine de tout ce que nos yeux peuvent contempler : montagnes, rochers, sols, paysages, pierres précieuses, fleuves, océans, nuages, vents, volcans, arbres, fleurs … sur Terre (dans la matière dense) mais aussi dans les plans matériels subtils que nous nommons sommairement « l’au-delà ».
Mais les êtres de la Nature, même s’ils travaillent avec une apparente indépendance, sont guidés d’en haut. Leurs guides, dotés d’une immense puissance radiante, se tiennent au-dessus d’eux, orientent leur activité, les assistent et les fortifient. Et ces guides, cher lecteur, vous les connaissez : ils font parti des « dieux » des anciennes mythologies. Les plus évolués des êtres humains de cette époque ressentirent l’existence de ces guides et entrèrent souvent en contact avec eux. Subjugués par la beauté, la bonté et la sagesse de ces lumineuses créatures, ils les considérèrent tout naturellement comme des « dieux ».
Ce fut une étape cruciale du développement spirituel de l’humanité.
L’étape suivante devait mener les êtres humains à la reconnaissance consciente des premiers degrés du royaume spirituel mais elle ne fut jamais atteinte. En effet, une funeste tendance au développement excessif de la cérébralité se répandit dans tous les pays de la Terre. Le cerveau « pris les commandes ». Telle une mécanique en folie, lui qui ne devait être qu’un instrument au service de l’esprit, cessa d’obéir à la volonté de l’esprit. La froideur intellectuelle s’insinua dans tous les domaines de l’activité humaine.
C’est ainsi que le développement spirituel de l’humanité fut entièrement stoppé. Pire encore, une forte régression succéda à cette stagnation contraire à l’évolution, amenant son cortège de souffrances, de guerres, d’épidémies.
L’être humain quitta la voie juste car seul l’esprit était en mesure de reconnaître et de comprendre les lois divines. Cependant, ce n’était plus possible car l’esprit était emmuré. Il s’en suivit une profonde et longue décadence. Tout se brouilla, tout se déforma. L’Amour pur et bienveillant devint sensualité, l’empathie et la compassion furent chassées par l’égoïsme, la sincérité fit place au mensonge et à la tromperie, la recherche spirituelle déclina au profit de la recherche du pouvoir et de l’argent …
Seul un petit peuple de bergers suivi le cours normal de l’évolution prévu pour l’humanité. De rudes expériences permirent à ce peuple d’atteindre la maturité intérieure requise pour dépasser les premiers rivages du royaume spirituel. Et comme l’Amour de Dieu est vigilant, cette salutaire progression déclencha auto activement l’envoi de l’aide spirituelle nécessaire pour aller de l’avant. Toute une lignée de prophètes s’incarna dans ce peuple pour le conduire progressivement à la reconnaissance du Dieu unique.
C’est ainsi qu’intervint le dévoilement du nombre 1.
Ce peuple, jadis élu, reçu notamment de Moïse les 10 commandements (remarquons ici que 10 et 1 ont la même vibration). Hélas, une fois de plus, l’entêtement produisit par la suite les pires effets. La loi divine fut appliquée non pas avec la souplesse, la chaleur, la vigueur et la générosité de l’esprit mais comme un catalogue de préceptes sans vie rabâchés de génération en génération.
Il en résulta que, lorsque le Fils de Dieu Jésus s’incarna sur Terre, ce peuple appelé avait déjà failli. Destiné à accueillir l’Envoyé de Dieu, à Le servir, à recevoir Sa Parole et à La répandre dans le monde entier pour relever spirituellement tous les peuples de la Terre, il n’accomplis point sa promesse et assassina Celui pour le service duquel il avait reçu tant de Grâces divines pendant des siècles.
Résurgence du nombre d’or
Dans l’exposé « Le nombre d’or » du présent blog, nous avons constaté que le nombre d’or est engendré par le nombre 1 et qu’il est donc intimement relié à l’activité de Dieu.
Nous allons à présent confirmer cette découverte d’une toute autre manière en observant comment procède la Nature en matière de reproduction (c'est-à-dire la création d’un nouvel être vivant de la même espèce). A titre d’exemple, examinons la structure d’un grain de blé :
Un grain de blé contient une amande et un germe (l’embryon). Le tout est protégé par une enveloppe (le son). La partie vivante du grain de blé est le germe (l’embryon). Le germe est adossé à l’amande, laquelle contient les réserves nécessaires au futur développement de la plante.
Cependant, en dépit de toutes les descriptions fournies par la science actuelle, le développement du germe reste un mystère bien qu’il se produise des milliards de fois chaque année ! Quelle force invisible guide la croissance du germe, étape par étape ? Nous n’en savons rien mais nous pouvons pressentir que :
le germe est fortement lié à une loi de développement
Et sans doute, cher lecteur, vous demandez-vous comment rattacher tout ceci à notre sujet « la résurgence du nombre d’or » ? Voici la réponse : nous allons construire une suite de nombres à partir d’un « germe » et d’une « loi de développement ».
Le germe est constitué des deux premiers termes de la suite. Choisissons le 1 et le 1.
Pour la loi de développement, choisissons ceci : chaque nouveau terme résulte de l’union (de l’addition) des deux termes qui le précède.
Nous pouvons alors former la suite complète :
1 ; 1 ; 2 ; 3 ; 5 ; 8 ; 13 ; 21 ; 34 ; 55 ; 89 ; 144 ; 233 ; 377 ; 610 ; 987 ; 1597 ; 2584 ; 4181 ; 6765 ; 10946 ; 17711 …
Et de nouveau, nous pouvons utiliser notre petite méthode pour comparer un terme de la suite à celui qui le précède. Il suffit pour cela de former leur quotient et de calculer celui-ci sous forme décimale.
Rien de particulier en apparence. Continuons.
Le dernier terme 1,6181 … est étonnamment proche du nombre d’or. Mais peut-être s’agit-il d’une coïncidence ? Continuons encore.
Dès lors, plus aucun doute ne subsiste : nous nous approchons progressivement et précisément du nombre d’or ϕ = 1,6180339887 …
C’est ainsi que, pour la seconde fois, nous constatons que le nombre 1, la Force sacrée de Dieu, engendre très naturellement le nombre d’or. Il nous faudra donc, dans un exposé ultérieur, approfondir encore la compréhension de ce nombre si particulier.
Epilogue
Je ne suis pas écrivain. J’ai rédigé cet exposé pour attirer votre attention sur une Œuvre de Très Haute Spiritualité intitulée « DANS LA LUMIERE DE LA VERITE ». Sans les connaissances contenues dans cet ouvrage, il ne m’aurait pas été possible d’élaborer cet exposé. Vous qui êtes un chercheur, je vous renvoie à ces écrits qui éclaireront votre âme avec Sagesse et Bonté.
Un livret de présentation de cette Œuvre est téléchargeable en cliquant sur le lien suivant :
http://ahp.li/e9163a26260004a5745a.pdf
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