Corps et âme

Publié le par Pythagore1618

Corps et âme

Vingt Mille Lieues sous les mers

Nous connaissons tous « Vingt Mille Lieues sous les mers », ce roman de Jules Verne publié en 1870 dans lequel l’écrivain décrit le périple du capitaine Nemo, constructeur et commandant d’un formidable sous-marin, le Nautilus, avec lequel il sillonne les mers et les océans du monde entier.

Jules Verne photographié par Etienne Carjat vers 1884

Jules Verne photographié par Etienne Carjat vers 1884

le Nautilus-gravure originale

le Nautilus-gravure originale

« Vingt Mille Lieues sous les mers »  c’est aussi un film sorti en 1954 et réalisé par Richard Fleischer pour Walt Disney Productions d’après le roman de Jules Verne.

Le Nautilus selon Disney

Le Nautilus selon Disney

L’homme des eaux

Dans « Vingt Mille Lieux sous les mers » le capitaine Nemo explique que l’océan peut offrir à l’humanité tout ce qui lui est nécessaire : nourriture, boisson, étoffes pour les vêtements, parfums (par distillation de plantes marines), encre, tabac …

Toutefois, l’homme n’est pas adapté au milieu marin. Pour évoluer dans ce milieu, il lui faut une enveloppe spéciale : un scaphandre.

Epris de science et toujours au fait des avancées technologiques de son époque, Jules Verne s’inspire du scaphandre Rouquayrol-Denayrouze inventé quelques années avant la parution de son roman. Nemo et ses compagnons en sont équipés, ce qui leur permet d’explorer en toute tranquillité les fonds marins côtiers.

chasse sous-marine dans les forêts de l’Ile Crespo-gravure originale

chasse sous-marine dans les forêts de l’Ile Crespo-gravure originale

les scaphandres des hommes du Nautilus selon Disney

les scaphandres des hommes du Nautilus selon Disney

Corps et âme

Le plongeur revêtu d’un scaphandre est une très belle image qui nous permet de comprendre le sens de notre vie terrestre.

Car lorsque notre esprit quitta la création spirituelle à l’état de germe pour commencer son développement, il lui fallu PLONGER dans les plans de la matérialité pour parvenir jusqu'à la pesante matière terrestre.

descente des germes d’esprit vers la Terre

descente des germes d’esprit vers la Terre

Mais pour vivre et agir dans ce nouvel environnement, il eu besoin d’une enveloppe protectrice adaptée à la densité terrestre, une sorte de « scaphandre » : un corps physique.

C’est ainsi que, pendant toute la durée de chacune de nos vies terrestres, notre corps physique est  le « vêtement » de notre âme. L’âme est par conséquent le seul élément réellement vivant en nous. Le corps est seulement l’enveloppe dont notre âme a un besoin absolu pour œuvrer dans la matérialité.

Il est facile de ressentir la présence de l’âme. Le sens de la beauté, la compassion, l’amour universel pur et désintéressé, la bonté, la sagesse, la sincérité, l’humilité et bien d’autres vertus émanent d’une âme libre et purifiée.

Issue de la création spirituelle, notre âme a la connaissance du bien et du mal.  C’est pourquoi, si nous commettons une mauvaise action, nous avons « mauvaise conscience » et cela nous oppresse. Car notre esprit (qui est le « noyau » ultime de notre âme) nous averti et nous met en garde.

L’âme est  aussi capable d’entrer en contact avec les plans spirituels les plus élevés. Une vraie prière profondément ressentie (ce qui est fort différent de la récitation mécanique d’un texte aussi bien écrit soit-il)  permet cela.

Bien entendu, tout ceci ne concerne que les êtres humains de bonne volonté. Ceux dont l’esprit est totalement emmuré et ne donne plus signe de vie  n’entrent plus en ligne de compte. Ils sont voués à la mort spirituelle.  

Quand l’âme quitte son corps

Lorsqu’une personne est décédée, nous parlons bien de sa dépouille mortelle, signifiant bien par là que l’âme s’est dépouillée de son corps usagé et désormais inutile.

En effet, quand le corps est trop affaibli par le grand âge où une maladie, l’âme se sépare finalement de lui puis continue à vivre sur un plan de matérialité subtile proche du plan terrestre.

Certains artistes ont pressentis cette réalité. Tel est le cas  du peintre et poète anglais William Blake (1757-1827)  qui réalisa en 1806 une illustration  tout à fait particulière :

« L’âme planant au-dessus du corps »

Corps et âme

Cette magnifique illustration doit nous donner du courage car

 la vie continue après « la mort » 

Certes, après notre décès, nous laisserons derrière nous nos biens matériels et notre position sociale mais nous emporterons avec nous les fruits du bien que nous avons fait, la quintessence des expériences que nous avons vécues et les progrès spirituels que nous avons accomplis.   

Epilogue

Je ne suis pas écrivain. J’ai rédigé cet exposé pour attirer votre attention sur une Œuvre de Très Haute Spiritualité intitulée « DANS LA LUMIERE DE LA VERITE ». Sans les connaissances contenues dans cet ouvrage, il ne m’aurait pas été possible d’élaborer cet exposé. Vous qui êtes un chercheur, je vous renvoie à ces écrits qui éclaireront votre âme avec Sagesse et Bonté.

Un livret de présentation de cette Œuvre est téléchargeable en cliquant sur le lien suivant :

http://ahp.li/e9163a26260004a5745a.pdf

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