Symbolisme de la flamme
Afin de bénéficier pleinement des explications qui suivent, il est conseillé de prendre préalablement connaissance de l’exposé « Corps et âme » (rubrique « Images spirituelles» de ce blog).
Le Feu céleste
Bien au-dessus des créations se trouve LE FEU CELESTE par lequel tout ce qui existe a pris naissance lorsque Dieu le Père lui-même prononça cette Parole Sacrée :
« Que la Lumière soit »
Nous sommes certes bien loin de saisir le sens profond de cette Parole Sainte et Créatrice ! Nous pouvons cependant en former une image et une notion en observant les manifestations du feu dans la Nature car, de même que les irradiations de la Lumière divine réchauffent et animent tous les plans de la création, le feu matériel terrestre, tel un reflet du FEU SUPREME, nous prodigue lumière, chaleur et mouvement.
La découverte du feu
Dans des temps immémoriaux, les êtres humains firent connaissance avec le feu. L’orage et ses puissants éclairs allumaient parfois de vastes incendies qui étaient contemplés avec un sentiment de fascination mêlé de respect et de crainte. Le spectacle somptueux de volcans « crachant » le feu acheva de les convaincre de la toute puissance de cet élément si particulier.
Puis, avec l’aide des entités de la Nature que les êtres humains de cette époque pouvaient voir où ressentir, la grâce d’apprivoiser le feu fut offerte à l’humanité. Des braises furent recueillies dans un récipient approprié et soigneusement conservées. Elles permettaient l’allumage du feu nécessaire pour s’éclairer, se protéger du froid et cuire les aliments.
Ce fut une étape capitale de l’évolution de l’humanité !
Un reflet de cet évènement peut être observé chez l’enfant, lequel à un moment donné de son propre développement, s’intéresse vivement au feu et cherche à l’expérimenter, réveillant ainsi en son fort intérieur un vécu très ancien qui correspond à cette étape si importante pour l’humanité.
Une Flamme sacrée : la Flamme olympique
Les mythologies, notamment la mythologie grecque, décrivent des « dieux » et des « déesses » qui sont en fait les plus hautes entités de l’Olympe (Zeus, Héra, Apollon, Artémis, Arès …). Ces puissantes entités résident dans un domaine situé entre le domaine du spirituel et le domaine de la matière. Sans elles et les nombreuses entités plus petites qui sont à leur service (êtres élémentaux par exemple), les plans de la matière n’auraient pu se former et se développer. Nous leur devons beaucoup !
Mais en raison du déclin spirituel de l’humanité, la capacité de voir où de percevoir ces majestueuses entités célestes s’atrophia peu à peu puis disparu complètement. De plus, au fils du temps, les récits d’origine furent altérés par des ajouts fantaisistes qui défigurèrent totalement la majesté et la beauté de ces nobles entités.
C’est ainsi que Le maître de l’Olympe lui-même (Zeus) est décrit comme un mari infidèle qui, délaissant son épouse légitime Héra, s’offrit d’innombrables aventures. Il s’unit notamment avec Mnémosyne (la déesse de la mémoire) pendant 9 nuits de sorte que celle-ci donna naissance à 9 filles qui sont les 9 Muses inspiratrices et protectrices des Lettres, des Arts et des Sciences (voir l’exposé « Le nombre sacré 9 »).
Le royal souverain de l’Olympe engendra ainsi une nombreuse descendance avec des « déesses » mais séduisit aussi des mortelles et parfois des mortels (par exemple l’adolescent troyen Ganymède).
Tous ces récits, dans lesquels les « dieux » se comportent comme des humains, contiennent des parcelles de vérité. Il nous incombe donc de faire le tri et de tenter de retrouver les vérités originelles qui ont été ensevelies dans les multiples transcriptions qui nous ont été transmises. Mais ceci fera l’objet d’un autre exposé !
Revenons à présent à la Flamme olympique.
Dans l’Encyclopédie Universalis nous lisons ceci : « Une flamme brûlait dans le sanctuaire olympique, sur l'autel de la déesse Hestia ; cette flamme, obtenue par la chaleur des rayons solaires, servait à allumer les autres feux du sanctuaire, notamment devant les autels de Zeus et d'Héra. »
Mais qui sont Hestia, Zeus et Héra ? Un auteur hautement inspiré que nous avons déjà cité (Herbert Vollman) décrit ces hautes entités en ces termes :
"Hestia (Vesta) fut honorée comme une Déesse protectrice du foyer et de la famille. Son symbole est le feu dans l’âtre. La nature de cette Déesse est pure et claire comme la flamme. Les colons qui partirent fonder une nouvelle colonie emportèrent, en quittant leur patrie, du feu de l’autel de Hestia sur lequel brûlait un feu éternel. C’était pour eux le symbole d’un lien spirituel entre leur patrie et la nouvelle colonie. Conformément à la nature pure de cette Déesse, seules de chastes jeunes filles pouvaient assurer le service de son temple.
Zeus (Jupiter ou encore Odin), père des dieux et conducteur du monde, l’image idéale du souverain royal ; plein de dignité, sévère et juste dans la conduite de ses hautes fonctions, il impose le respect. On voit en lui l’incarnation du principe immuable de l’ordre et de l’harmonie. La sagesse de ses conseils et la profondeur de son savoir furent toujours profondément estimées.
Dans Héra (Junon), image féminine correspondant à celle masculine de Zeus, on reconnaît l’idéal de la fidélité. Elle exprime toute la délicatesse d’une noble féminité. Elle est avant tout la protectrice fidèle et maternelle du genre féminin. On la vénère en tant que gardienne du mariage et protectrice de celles qui transmettent la vie. C’est aussi elle qui inspire le respect devant la maternité."
Or, Le « dieu » du feu Héphaïstos (Vulcain chez les romains) est précisément le « fils » de Zeus et d’Héra.
Nous comprenons ainsi pourquoi la Flamme olympique était allumée dans le temple d’Héra à Olympie. Pour ce faire, les prêtresses d’Héra concentraient les rayons solaires au moyen d’un miroir parabolique. La flamme sacrée était donc allumée en droite ligne par le Soleil qui n’est autre que le feu central de notre système solaire !
A présent, tel un trait d’union entre l’antiquité et notre époque, cette grandiose cérémonie est de nouveau célébrée tous les 4 ans selon les anciens rituels avant le début des jeux olympiques.
Dans notre monde dit « moderne » dans lequel l’argent, le profit, la rentabilité, les biens matériels, les progrès techniques et les paroles creuses ou mensongères sont devenus nos nouveaux « dieux » il est plus que temps de nous souvenir que par son flamboiement, une simple Flamme nous rapproche des choses célestes que nous avons oublié.
Une autre Flamme sacrée : celle de la Tombe du Soldat inconnu
Paris, avril 2008, place de l’étoile (place Charles de Gaulle), au pied de l'Arc de Triomphe. J’ai voulu assister au ravivage de la Flamme de la Tombe du Soldat inconnu avec mon épouse et mes trois enfants. La cérémonie débute par l’arrivée d’une Délégation du Comité de la Flamme.
Les militaires se mettent alors en place en hommage à leurs camarades morts au combat.
Puis, après un impressionnant temps de silence et de recueillement, la Flamme est ravivée. Ce moment est solennel. Tel un feu sacré secourable et consolateur, la Flamme brille en mémoire de tous les malheureux soldats victimes de toutes les guerres.
Sa chaleur et sa lumière nous rappelle que le Secours divin est présent partout pour tous ceux qui souffrent. Et même sur un champ de bataille. Car dans l’invisible à nos yeux terrestres (l’au-delà) se tiennent d’innombrables aides et guides qui assistent, accueillent, réconfortent et soignent les âmes des soldats mourants ou décédés sur le champ de bataille. Car ces âmes sont gravement traumatisées par les souffrances atroces qu’elles ont subies ou par l’arrachement brutal et prématuré qui a mis fin à leur vie terrestre.
Allumée par André Maginot le 11 novembre 1923, cette Flamme ne s’est jamais éteinte ! Elle est ravivée chaque jour à 18 h 30 et en certaines occasions par le Chef de l’Etat lui-même. L’Officiant qui ravive la Flamme accompli un geste d’une haute valeur symbolique. Placé sous la protection de l’Arc de Triomphe, le lieu de cette cérémonie est donc sacré et ne doit nullement être profané !
le Général de Gaulle ravive la flamme sur la tombe du soldat inconnu en janvier 1959 Droits d'auteur : mention obligatoire ©Rene Saint Paul /Rue des Archives
Le Feu divin
Jean le Baptiste (qu’il ne faut pas confondre avec Jean l’évangéliste) prêchait dans le désert de Judée, annonçait l’arrivée du Christ et baptisait dans le Jourdain ceux qui venaient à lui. Il disait :
« Moi, je vous baptise d'eau, pour vous amener à la repentance; mais celui qui vient après moi est plus puissant que moi, et je ne suis pas digne de porter ses souliers. Lui, il vous baptisera du Saint- Esprit et de feu. » (Evangile de Mathieu 3.11)
Ainsi, dés le départ, l’action du Saint-Esprit est associée au feu.
Les années ont passées. L’envoyé de Dieu a remplit sa mission ; il a donné à l’humanité la Parole du Père. Mais la haine ténébreuse des foules a conduit à son assassinat, le plus grand crime de tous les temps.
Désemparés, ses disciples s’efforçaient de maintenir vivante en eux les Paroles de leur Maître et de remplir la mission qu’Il leur avait confié. Or, réunis en son nom le jour de la pentecôte, ils vécurent un évènement tout à fait particulier :
« Tout à coup il vint du ciel un bruit comme celui d'un vent impétueux, et il remplit toute la maison où ils étaient assis.
Des langues, semblables à des langues de feu, leur apparurent, séparées les unes des autres, et se posèrent sur chacun d'eux.
Et ils furent tous remplis du Saint Esprit, et se mirent à parler en d'autres langues, selon que l'Esprit leur donnait de s'exprimer. »
(Actes des Apôtres 2. 2-4)
Ainsi, la descente du Saint-Esprit (c'est-à-dire La Volonté de Dieu le Père) se manifeste-elle terrestrement sur les disciples par l’apparition d’une « langue de feu » qui se pose sur chacun d’eux.
La Pentecôte est célébrée par les églises chrétiennes en souvenir de ce lointain évènement. Or, c’est chaque année que se produit la descente du Saint-Esprit. A ce moment précis (vers la fin du mois de mai) la Force divine afflue dans le Saint-Graal et se déverse dans toutes les créations pour leur conservation et leur développement.
Et chacun d’entre nous peut entrer en contact avec ce feu divin. C’est une question d’ouverture et de préparation sur le plan spirituel.
Symbolisme de la bougie
Certains lecteurs me disent que les belles connaissances spirituelles ne leur suffisent pas et qu’il leur faut du concret.
C’est pourquoi je vous propose à présent d’examiner en quoi une simple bougie peut nous aider et nous secourir !
Allumez une bougie et observez-la attentivement. Concentrez-vous sur sa flamme, sa lumière rayonnante et sa chaleur ascendante. Voyez à quel point elle est vivante et réagit au moindre souffle.
Cette flamme est une image terrestre du Saint-Esprit lequel réchauffe les cœurs, illumine les âmes, repousse les ténèbres et donne de la Force à la moindre impulsion positive de notre âme. Il ne s’agit pas que de mots ; il s’agit là d’une réalité qui doit être vécue !
A présent, si vous éprouvez le besoin d’aborder le symbolisme, rentrons dans les détails.
La bougie allumée qui se trouve en face de nous est aussi une excellente représentation de l’être spirituel terrestrement incarné que nous sommes :
-le bougeoir représente notre assise terrestre, ce qui nous relie à la Terre
-le corps de la bougie symbolise l’énergie vitale dont nous disposons pour notre incarnation terrestre
-la flamme de la bougie et sa lumière représentent notre esprit et son rayonnement
-La chaleur ascendante produite par la combustion de la cire représente l’ascension vers le Ciel de la quintessence des expériences vécues par notre esprit.
Remarquez que, avec le temps, la longueur de la bougie diminue sans que la qualité de la flamme soit altérée. Cela signifie que, lorsque nous vieillissons, les réserves vitales de notre corps physique s’amenuisent mais sans que cela nuise au rayonnement de notre esprit.
En guise de conclusion : il faut de l’huile pour notre lampe
Le Fils de Dieu Jésus utilisait souvent des paraboles pour aider les êtres humains à se représenter en images certaines notions spirituelles. C’est ainsi que dans le chapitre 25 de l’Evangile de Mathieu, nous trouvons la parabole des vierges folles et des vierges sages (parfois nommée la parabole des dix vierges).
Mais avant de nous pencher sur la haute signification de cette parabole, il nous faut la replacer dans le contexte du récit. En effet, dans le chapitre précédent (Mathieu 24), il est question d’une période apocalyptique (guerres, famines, tremblements de terre, phénomènes célestes) durant laquelle un Envoyé de Dieu (le Fils de l’homme) procèdera au jugement de l’humanité.
Pour ce qui est de l’époque durant laquelle surviendrons ces redoutables évènements, l’évangéliste rapporte les Paroles suivantes du Christ :
24:32 Instruisez-vous par une comparaison tirée du figuier. Dès que ses branches deviennent tendres, et que les feuilles poussent, vous connaissez que l'été est proche.
24:33 De même, quand vous verrez toutes ces choses, sachez que le Fils de l'homme est proche, à la porte.
Ne s’agit-il pas précisément de l’époque que nous sommes en train de vivre ?
Examinons à présent, cette fameuse parabole des vierges folles et des vierges sages :
« Alors le royaume des cieux sera semblable à dix vierges qui, ayant pris leurs lampes, allèrent à la rencontre de l'époux.
Cinq d'entre elles étaient folles, et cinq sages.
Les folles, en prenant leurs lampes, ne prirent point d'huile avec elles;
mais les sages prirent, avec leurs lampes, de l'huile dans des vases.
Comme l'époux tardait, toutes s'assoupirent et s'endormirent.
Au milieu de la nuit, on cria: Voici l'époux, allez à sa rencontre!
Alors toutes ces vierges se réveillèrent, et préparèrent leurs lampes.
Les folles dirent aux sages: Donnez-nous de votre huile, car nos lampes s'éteignent.
Les sages répondirent: Non; il n'y en aurait pas assez pour nous et pour vous; allez plutôt chez ceux qui en vendent, et achetez-en pour vous.
Pendant qu'elles allaient en acheter, l'époux arriva; celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle des noces, et la porte fut fermée.
Plus tard, les autres vierges vinrent, et dirent: Seigneur, Seigneur, ouvre-nous.
Mais il répondit: Je vous le dis en vérité, je ne vous connais pas.
Veillez donc, puisque vous ne savez ni le jour, ni l'heure. »
(Mathieu 25.1-13)
Mais que signifie cette parabole ?
Des vierges, des lampes, un époux, de l’huile pour les lampes … De quoi peut-il bien s’agir ? Pour le comprendre, il nous faut disposer d’une vue d’ensemble de la destinée humaine, depuis le commencement jusqu'à nos jours.
Cette grandiose perspective est détaillée dans le Message du Graal « DANS LA LUMIERE DE LA VERITE » que je vous invite à étudier. A présent, allons-y !
Les vierges sont les âmes humaines. Elles sont issues des derniers plans du domaine spirituel en tant que germes d’esprit. Ces germes d’esprit plongent dans le domaine de la matière afin de s’y développer. Pour ce faire, ils revêtent les enveloppes nécessaires à leur séjour terrestre (voir l’exposé « Corps et âme » de ce blog). Au départ, les âmes sont pures, tournées vers le Bien et la Lumière. Elles sont donc « vierges » c'est-à-dire exemptes de tout mal.
Les lampes sont les esprits. L’esprit est la partie centrale de l’âme qui rayonne à travers ses différentes enveloppes et éclaire toutes choses.
L’huile symbolise la maturité de l’esprit c'est-à-dire la Vraie Foi, non pas la foi incertaine, chancelante et confuse apprise et récitée machinalement, mais la qualité d’un esprit qui possède la conviction, connaît les lois spirituelles et a développé tous les « talents » inclus dés l’origine dans le germe d’esprit.
L’époux est l’envoyé de Dieu qui procédera au jugement de l’humanité, Celui dont il est dit : « C'est pourquoi, vous aussi, tenez-vous prêts, car le Fils de l'homme viendra à l'heure où vous n'y penserez pas. » (Mathieu 24.4)
Les vierges folles sont les âmes qui se sont définitivement détournées de Dieu, du Bien, de la Lumière.
Les vierges sages sont les bonnes âmes qui, tout en étant parfois chargées de défauts et de souffrances, tendent vers le Bien et font preuve de bonne volonté. Elles commettent certes encore bien des erreurs mais s’efforcent de s’améliorer et de progresser. Le Seigneur leur donne sa Bénédiction et leur octroie la Force nécessaire pour « laver leur robe » (c'est-à-dire détacher les dernières traces du mal qui adhère encore aux enveloppes de leur esprit).
En cette séparation en deux parties réside le jugement de l’humanité. Cette parabole est un terrible avertissement adressé à chacun d’entre-nous. Car beaucoup de lampes sont sans huile. Beaucoup de bougies laissent entrevoir une flamme vacillante prête à s’éteindre au moindre souffle de vent.
Il en résulte la déplorable situation dont nous sommes actuellement les témoins. Le matérialisme tentaculaire et tous ses corolaires (cupidité, égoïsme, mensonge, cynisme, orgueil, mépris d’autrui …) s’affichent avec insolence, ce qui est le signe de leur fin prochaine. Tout ceci doit disparaître dans les flammes du jugement afin que naisse et s’édifie un monde nouveau, fondé sur la Justice, l’Amour et la Pureté.
Et chacun peut apporter sa pierre à cette édification, car notre esprit peut et doit devenir une flamme, un feu spirituel capable de redresser le monde avec sagesse et bonté. Et pour ce faire, l’aide du Tout-Puissant ne nous fera jamais défaut !
Epilogue
Je ne suis pas écrivain. J’ai rédigé cet exposé pour attirer votre attention sur une Œuvre de Très Haute Spiritualité intitulée « DANS LA LUMIERE DE LA VERITE ». Sans les connaissances contenues dans cet ouvrage, il ne m’aurait pas été possible d’élaborer cet exposé. Vous qui êtes un chercheur, je vous renvoie à ces écrits qui éclaireront votre âme avec Sagesse et Bonté.
Un livret de présentation de cette Œuvre est téléchargeable en cliquant sur le lien suivant :
http://ahp.li/e9163a26260004a5745a.pdf
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